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Revitalisation des centres-villes : de nouvelles mesures lancées par le gouvernement | Actualités

Le programme « Action Cœur de Ville », qui mobilise 5 milliards d’euros sur 5 ans, a pour objectif de revitaliser les centres de 222 villes moyennes. Fort de son succès, le dispositif va déjà être enrichi avec de nouvelles mesures.

« Action Cœur de Ville » : de nouvelles mesures déjà mises en place
Lancé il y a moins d’un an, le programme national « Action Cœur de Ville » pour la revitalisation des centres de 222 villes moyennes, va prochainement s’enrichir de nouvelles mesures. Cela a été annoncé par Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires, à l’occasion du 2e comité de pilotage stratégique du dispositif. Parmi les nouvelles mesures, on peut citer l’homologation prochaine des conventions-cadres Action Cœur de Ville comme Opérations de revitalisation de territoire (ORT), qui permettra aux 222 villes de bénéficier des avantages concrets de ce nouveau dispositif (dispositif de défiscalisation de l’acquisition-amélioration de logements dans l’ancien, régulation des implantations commerciales, etc.). Le dispositif fiscal Malraux pour la restauration du patrimoine et la diversification de l’offre culturelle sera amélioré dans les villes concernées, avec notamment des actions en faveur des bibliothèques et la création de « quartiers culturels créatifs ». Ces villes étant particulièrement concernées par les enjeux de mobilité, leurs actions dans ce domaine seront inscrites dans la démarche France Mobilité et les prochains appels à projet du ministère.

Bon à savoir
Les nouvelles mesures seront présentées plus en détail le 19 mars, devant les maires et présidents d’intercommunalités engagés dans le programme.

Revitalisation des centres-villes : 1 700 actions déjà lancées en 2018
Depuis sa mise en place, il y a 9 mois, le programme « Action Cœur de Ville » a suscité un fort engouement des élus et des acteurs locaux : en 2018, 1 700 actions ont été lancées dans le cadre du programme, mobilisant 293 millions d’euros. Pour rappel, le plan national « Action cœur de ville » est un dispositif de grande ampleur (5 Milliards d’euros mobilisés sur 5 ans), coordonné par le CGET (Commissariat Général à l’Égalité des Territoires), ayant pour objectif de redynamiser les centres des villes moyennes. Réhabilitation et restructuration de l’habitat pour le rendre plus attractif, développement économique et commercial équilibré, création d’emplois, transports et mobilité, amplification de l’offre éducative et des activités sportives et culturelles, mise en valeur de l’espace public et du patrimoine, développement des usages des outils numériques… le plan doit permettre d’améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes (soit 1 Français sur 4) et conforter le rôle de moteur de développement du territoire de celles-ci. Il est mis en œuvre avec les collectivités territoriales et fédère des acteurs publics et privés (Anah, Action Logement, Caisse des dépôts…), au plan national comme au plan local.

Action Cœur de Ville est une démarche « cousu-main » pour les villes bénéficiaires, qui part des besoins exprimés sur le terrain et est co-construite avec les acteurs locaux dans la durée ».
Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires.

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Prix immobilier : des disparités toujours plus grandes entre grandes villes et zones rurales | Actualités

Alors que la fracture immobilière continue de s’élargir entre les métropoles régionales et le reste de l’hexagone, force est de constater que sur les prix des logements, les tensions tendent à s’estomper…

Le marché immobilier hexagonal est en pleine mutation !
En témoignent l’accès à la propriété, qui semble bel et bien avoir été sacrifié sur l’autel de la métropolisation de la croissance, et une fracture immobilière qui ne cesse de se creuser…

Pourquoi les métropoles « vident » les zones rurales ?
Parce qu’elles constituent les principaux bassins d’emplois, les grandes métropoles régionales siphonnent littéralement les zones rurales de leurs jeunes actifs. La périurbanisation (des citadins s’installent à la campagne tout en conservant un mode de vie urbain et en se rendant tous les jours en ville pour leur travail) à laquelle on avait assisté à la fin des années 70 semble ainsi avoir laissé placé à un exode rural massif. Et pour cause, de plus en plus de Français aspirent à vivre au plus près de leur lieu de travail, lequel se trouve le plus souvent dans une grande ville. 

Bon à savoir
3 465€/m². C’est le prix de l’immobilier en France dans l’ancien.
Il atteint 3 946 €/m² pour un appartement.
Pour une maison, le prix au m² est de 2 949 €. 
Les conséquences de cette métropolisation sur le prix de l’immobilier 
La demande allant crescendo, les prix des logements dans les grandes métropoles régionales s’envolent jusqu’à devenir totalement déconnectés du pouvoir d’achat immobilier des locaux, comme c’est déjà le cas à Paris. Dans la capitale, le ticket d’entrée dépasse les 10 000 € (10 034 € du m² / Source : baromètre LPI-SeLoger). En 2019, devenir Parisien coûte ainsi quatre fois plus cher qu’il y a 20 ans… Rien d’étonnant, donc, à ce que l’Île-de-France gagne des habitants quand Paris en perd. En revanche, et en application du principe des vases communicants, dans les zones rurales, la demande en logements se réduit comme peau de chagrin et il en va de même des prix immobiliers. Comme dans le célèbre tour de prestidigitation, la France se retrouve donc coupée en deux. Jugez plutôt : devenir propriétaire d’un appartement ancien à Paris coûte 7 fois plus cher qu’à Calais (1 384 €/ m²). 

La hausse à deux chiffres du prix immobilier en voie de disparition ?
Comme en attestent les données compilées par le baromètre LPI-SeLoger, le ralentissement des prix immobiliers se confirme et le marché semble s’assagir. La preuve en est que seules deux métropoles justifient encore d’une hausse annuelle à deux chiffres du prix de leur immobilier. Il s’agit de Rennes et de Limoges. Dans le chef-lieu du département d’Ille-et-Vilaine, faire l’acquisition d’un appartement ancien coûte ainsi 12,1 % plus cher qu’il y a un an. Dans la ville de la porcelaine (qui, rappelons-le, revient de loin, immobilièrement parlant !), les prix progressent de 10,3 % sur les douze derniers mois. Pour autant, dans le paysage immobilier actuel, Rennes et Limoges font clairement figure d’exceptions car comme le précise Michel Mouillart, « dans la plupart des grandes villes de France (Lille, Marseille, Nice, Strasbourg, Toulouse), la hausse annuelle n’est plus que de 2 % ». En effet, partout ailleurs, les prix ralentissent sur l’année (c’est notamment le cas à Bordeaux où le marché immobilier revient à la normale) voire reculent (Brest, Metz, Amiens). Il est toutefois intéressant de constater que si les prix bordelais augmentent moins vite qu’avant, c’est parce que le niveau qu’ils ont atteint tend à freiner l’achat, alors qu’à Amiens ou encore à Metz, la baisse d’activité et la baisse des prix qui s’en suit sont à mettre sur le compte d’une demande locale « malmenée par la conjoncture économique ».

Bon à savoir
À Bordeaux, les prix immobiliers ne progressent plus que de 8,6 %. À titre de comparaison, à l’été dernier, les prix des logements bordelais augmentaient de 12 % 

Vers un retour en grâce des prix des maisons ?
Les chiffres recueillis par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que le rythme de progression des prix des appartements va s’affaiblissant (de + 4,7 % en 2018, il tombe à 3,4 % en 2019). En revanche, force est de constater que les prix des maisons, après avoir perdu du terrain six mois durant, reviennent en force ! Boostées par des conditions de crédit ultra favorables (taux, apports), les ventes des maisons accélèrent et les prix en font autant : en l’espace de douze mois, la hausse atteint presque 1 % (+ 0,8 %).

Bon à savoir
Sur les trois derniers mois, les prix des maisons augmentent de 4,7 %

Des logements dont les prix sont de moins en moins négociés…
Au vu du niveau qu’elles ont atteint, un professeur dirait des marges de négociation qu’elles ont touché le fond mais qu’elles creusent encore. Sur les maisons comme sur les appartements, la fragilité de la demande, le manque de moyens financiers des acquéreurs et le peu de dynamisme du marché viennent contraindre les vendeurs à « modérer leurs ambitions et à proposer des prix calibrés « au juste prix » s’ils veulent pouvoir réaliser rapidement les ventes sur un marché hésitant ».

Les marges de négociation en France
Tous logements confondus : 3,9 %.
Pour une maison : 4,6 % du prix de vente.   
Pour un appartement : 3,3 %.
Les ventes immobilières reculent de 2 % sur l’année
En dépit des efforts considérables déployés par les établissement de crédit pour soutenir  une demande à bout de souffle, le nombre de compromis signé est à la baisse. Même si l’on a échappé au pire (la plupart des prévisions étaient plus pessimistes quant au niveau d’activité du marché immobilier), la demande en logements demeure frileuse et les ventes reculent. C’est d’ailleurs un comble lorsque l’on sait que le logement figure au cœur des préoccupations des ménages français car avec un coût qui explose dans les grandes villes, le logement pourrait bientôt devenir inaccessible à beaucoup de Français…

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Chaque année, plus d’un Français sur 10 change de logement | Actualités

Chaque année, 1 Français sur 10 fait le choix de changer de logement. Mais les ménages mobiles partent rarement loin de leur domicile précédent. Plus des 2 tiers se réinstallent dans le même département.

Chaque année, plus de 10 % des Français déménagent
On pense souvent que les Français déménagent peu au cours de leur vie. Pourtant, selon l’Observatoire des territoires du CGET, chaque année, plus d’un Français sur 10 (11%) change de logement. Précisons néanmoins qu’ils déménagent rarement très loin de leur précédant lieu de résidence : plus des 2 tiers se réinstallent dans le même département. L’ancrage territorial reste donc le phénomène majoritaire : un phénomène qui s’accentue depuis les années 2000 (dans les années 1990, 34 % des ménages franchissaient une frontière départementale, contre 31 % aujourd’hui). Néanmoins, on constate que les comportements varient fortement selon les catégories de population. Si dans les 40-55 ans, les ouvriers et les employés ont plutôt tendance à rester dans un périmètre de proximité, les jeunes et les cadres parcourent de plus longues distances quand ils déménagent. Cela s’explique par le fait que, pour les jeunes et les diplômés, un changement de département s’accompagne généralement d’un meilleur accès à l’emploi, tandis que pour les individus plus âgés ou moins diplômés, déménager loin débouche souvent sur une situation de chômage ou d’inactivité.

Bon à savoir
1 Français sur 2 est originaire du département dans lequel il réside.

Le Sud-Ouest attire 4 fois plus d’habitants qu’il y a 50 ans
Depuis 50 ans, les mobilités résidentielles ont profondément reconfiguré les dynamiques territoriales françaises. L’attrait pour des communes de plus en plus éloignées des pôles urbains (communes rurales et périurbaines), pour les littoraux et pour les régions de l’Ouest et du Sud, a peu à peu structuré un contraste entre un quart Nord-Est, globalement en déficit migratoire, et les régions situées au sud d’une ligne « Saint-Malo / Genève », où les grands pôles urbains comme les communes les moins denses sont en excédent migratoire. En moyenne, les départements de la région Nouvelle-Aquitaine gagnent aujourd’hui 4 fois plus d’habitants par an qu’au début des années 1970. De leur côté, les Pays de la Loire et la Bretagne gagnent 3 fois plus d’habitants qu’auparavant et l’Occitanie 2 fois plus. En revanche, la région PACA gagne chaque année 8 fois moins d’habitants qu’il y a 50 ans. L’Île-de-France, qui gagnait en moyenne plus de 15 000 habitants par an au début des années 1970, en perd désormais 51 000, même si elle reste attractive pour certains profils de population tels que les jeunes ou les cadres.

Les écarts de dynamisme migratoire s’accentuent entre les régions attractives de l’Ouest et du Sud d’une part, et les régions du Nord-Est et d’Outre-mer d’autre part ».
Pierre Mirabaud, président du conseil d’orientation de l’Observatoire des territoires.

Les cadres s’installent dans les grandes métropoles
Sur le plan sociodémographique, les écarts se creusent : les individus ont tendance à déménager dans les territoires où leur groupe social est déjà très présent. Les ouvriers et les employés se regroupent dans les communes périurbaines et rurales, tandis que la part des cadres augmente dans les grandes métropoles. Celles-ci constituent les principaux bassins d’emplois et sont donc très attractives pour ces catégories de population. Par conséquent, les prix des logements s’envolent dans certaines grandes métropoles régionales. Selon le baromètre LPI-SeLoger, dans la capitale, le ticket d’entrée atteint 10 034 € du m² en 2019 : c’est 4 fois plus qu’il y a 20 ans. Rien d’étonnant, donc, à ce que l’Île-de-France gagne des habitants quand Paris en perd. Cette surenchère touche aussi Rennes et Limoges. Dans la capitale bretonne, faire l’acquisition d’un appartement ancien coûte ainsi 12,1 % plus cher qu’il y a 1 an, tandis qu’à Limoges, les prix progressent de 10,3 %. Par contre, la hausse des prix ralentit dans certaines métropoles, comme à Bordeaux, où les prix immobiliers ne progressent plus que de 8,6 %, contre 12 % l’été dernier.

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Immobilier : Top 3 des stations de ski les moins chères dans les Pyrénées | Actualités

Vous aimez le ski et les Pyrénées et envisagez d’acheter un logement dans une station pyrénéenne ? Découvrez les 3 domaines skiables où vous pourrez réaliser votre projet immobilier, sans vous ruiner.

1. Ax 3 Domaines, Ariège : 1 297 €/m²
Située au cœur de la vallée d’Ax, dans la vallée de la Haute-Ariège, la station d’Ax 3 Domaines (anciennement appelée « Ax-Bonascre ») propose des prix de l’immobilier attractifs : il faut compter en moyenne 1 297 € du m² pour pouvoir s’offrir un logement dans la station. C’est sensiblement moins que la moyenne des stations des Pyrénées, qui atteint 1 894 € du m², selon nos données. Mais le prix attractif de la pierre n’est pas le seul atout de la station pyrénéenne. Ax 3 Domaines est composée de 37 pistes réparties sur 3 domaines skiables : le domaine de Bonascre à faible altitude (entre 1 400 et 2 000 mètres), le domaine du Saquet à moyenne altitude (entre 1 800 et 2 300 mètres), et le domaine des Campels à haute altitude (entre 1 700 et 2 400 mètres), pour un total de 80 kilomètres de pistes. La station ne se limite pas à la seule pratique du ski. L’été, elle est également idéale pour les passionnés de randonnée ou de VTT.

Ax 3 Domaines est située à 30 kilomètres de la frontière avec Andorre. 

Les 3 domaines skiables les moins chers des Pyrénées
DOMAINES SKIABLES PRIX MOYEN AU M²
Ax 3 Domaines 1 297 €
Domaine du Tourmalet 1 448 €
Luz-Ardiden 1 638 €

Bon à savoir
Dans les Pyrénées, le prix du m² atteint 1 894 € en moyenne.

2. Domaine du Tourmalet, Hautes-Pyrénées : 1 448 €/m²
Le Domaine du Tourmalet (Hautes-Pyrénées) est le plus grand domaine skiable des Pyrénées françaises. Comprenant 62 pistes (soit plus de 100 kilomètres) et 30 remontées mécaniques au total, le domaine skiable se niche entre 1 400 et 2 500 mètres d’altitude, de part et d’autre du col du Tourmalet. La station de sports d’hiver de Barèges occupe le versant Ouest du col, tandis que la station de La Mongie occupe le versant Est. Malgré ce domaine skiable gigantesque, qui fera le bonheur des férus de glisse, il est tout de même possible de réaliser de bonnes affaires immobilières dans la station haute-pyrénéenne. En effet, avec un mètre carré atteignant 1 448 € en moyenne, selon les dernières données recueillies par SeLoger, la station est financièrement la seconde la plus attractive des Pyrénées, après la station d’Ax 3 Domaines.

Au-delà des sports d’hiver, la station est également réputée pour la randonnée. 

Top 3 des domaines skiables les plus chers des Pyrénées
Les Angles (Pyrénées-Orientales) : 2 925 €/m²
Cauterets (Hautes-Pyrénées) : 2 864 €/m²
Saint-Lary (Hautes-Pyrénées) : 2 652 €/m²
3. Luz-Ardiden, Hautes-Pyrénées : 1 638 €/m²
Localisé dans le département des Hautes-Pyrénées, au nord du massif d’Ardiden, Luz-Ardiden est la troisième station pyrénéenne la plus attractive en ce qui concerne les prix de l’immobilier. Avec des prix moyens de 1 638 €/m² selon les données de SeLoger, elle devance les domaines de Piau-Engaly (Hautes-Pyrénées, 2 106 €/m²), Peyragudes (Hautes-Pyrénées, 2 237 €/m²) et Font-Romeu/Bolquère (Pyrénées-Orientales, 2 252 €/m²). Situé sur la commune de Luz-Saint-Sauveur et ouvert en 1975, le domaine est composé de deux secteurs interconnectés : Béderet (1 680 mètres d’altitude) et Aulian (1 730 mètres d’altitude). A 12 kilomètres du centre-ville de Luz-Saint-Sauveur, la station culmine à une altitude comprise entre 1 700 et 2 500 mètres et s’étend sur un domaine de 110 hectares, proposant 60 kilomètres de pistes balisées.

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86 % des Français veulent améliorer la qualité de l’air de leur logement | Actualités

En France, près de 9 ménages sur 10 souhaitent améliorer la qualité de l’air intérieur de leur logement. Pourtant, la plupart d’entre eux sont mal informés sur la dangerosité d’un air intérieur de mauvaise qualité.

Seuls 63 % des Français considèrent que leur air intérieur est bon
Selon l’Ademe, nous passons au moins 80 % de notre temps dans des endroits clos (transport, bureau, maison) alors que l’air y est jusqu’à 5 fois plus pollué qu’à l’extérieur. Conséquence, au cours des 30 dernières années, le nombre d’asthmatiques a été multiplié par 4 en France, et 20 000 décès par an sont directement liés à une mauvaise qualité de l’air intérieur. Dans ce contexte, une étude du constructeur IGC, réalisée avec l’institut Harris Interactive, s’est intéressée aux attentes des Français en ce qui concerne la qualité de l’air intérieur. Premier constat de cette étude : 86 % de la population aimerait améliorer la qualité de son air intérieur. Les plus nombreux sont les 18-34 ans (91 %). En France, seuls 63 % des ménages considèrent que leur air intérieur est « bon ». Les 18-34 ans semblent légèrement moins satisfaits que les autres tranches d’âge puisqu’ils sont 58 % à le considérer comme bon, contre 65 % chez les plus de 55 ans. Des disparités régionales existent également : c’est dans le Sud-Ouest (72 %) et le Nord-Ouest (70 %) que l’on semble le plus satisfait de son air intérieur, alors qu’en Ile-de-France, seuls 48 % sont satisfaits.

Seuls 11 % des Français jugent que leur air intérieur est très bon. © IGC-Harris Interactive
Mauvaise qualité d’air : 83 % des Français sont mal informés sur les dangers
Même si la population française semble très sensible à la qualité de l’air intérieur de son logement, les COV (Composants Organiques Volatils) restent encore relativement méconnus : 43 % des Français n’en ont même jamais entendu parler, 40 % connaissent « juste de nom », 14 % connaissent « assez bien » et seulement 3 % connaissent « très bien ». Ce sont les habitants du Nord-Ouest qui semblent les mieux informés, puisque 61 % d’entre eux affirment connaître les COV, contre seulement 53 % en Ile-de-France. Précisons que la RT 2012 (Réglementation Thermique) a rendu les maisons plus étanches à l’air, permettant aux COV, à l’origine de la pollution intérieure, de proliférer. Ces composants toxiques se matérialisent sous la forme de peintures, solvants, produits ménagers, fumée de tabac mais aussi lors de la cuisson des aliments ou lorsque l’on meuble sa maison. La qualité de l’air intérieur est également impactée par le taux de CO2 (Dioxyde de Carbone), c’est-à-dire le gaz carbonique que nous dégageons naturellement en respirant.

Seulement 17 % des Français sont bien informés sur les COV. © IGC-Harris Interactive
L’aération est la solution la plus simple pour améliorer l’air intérieur
Pour améliorer la qualité de l’air de son logement, aérer reste la solution la plus simple et à portée de tous : 80 % des Français déclarent aérer au moins 1 fois par jour. Notons que près de 20 % des 18-34 ans n’aèrent que 2 fois par semaine. Heureusement, seuls 2 % de la population ne le fait jamais. C’est dans le Sud-Est qu’ils sont les plus nombreux à aérer au moins une fois par jour. Ils sont 84 % à le faire, contre 77 % dans le Nord-Ouest. En Île-de-France, 22 % aèrent même leur logement deux fois par jour, contre seulement 12 % dans le Nord-Est. Outre l’aération, il existe des solutions innovantes pour améliorer la qualité de l’air intérieur, comme les plaques de plâtre dépolluantes, qui permettent d’éliminer 80 % des COV, associées à l’installation d’une ventilation naturelle optimisée. Il est également possible d’installer des capteurs CO2 pour mesurer en permanence le taux de dioxyde de carbone, reliés à une application mobile qui alerte lorsque le taux est trop concentré, invitant alors à augmenter la puissance de ventilation ou à ouvrir les fenêtres. Il existe aussi des systèmes intelligents de ventilation composés de détecteurs qui mesurent continuellement la qualité de l’air.

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Pour acheter un 75 m² à Paris, il faut gagner plus de 10 000 € par mois | Actualités

Ces dernières années, les prix des logements ont explosé à Paris. Même les taux de crédit immobilier, qui se maintiennent à des niveaux très bas, ne suffisent plus à les compenser. Conséquence, il est de plus en plus difficile d’acheter un logement dans la capitale.

10 600 € par mois pour acheter un appartement parisien de 75 m²
Selon le courtier Vousfinancer, il faut désormais gagner 10 600 € par mois pour y acheter un appartement de 75 m², pour y loger sa famille avec 2 enfants, et 7 000 € par mois pour y acheter un appartement de 50 m², financé à 100 % via un emprunt (avec 10 % d’apport). Des salaires élevés qui correspondent au 1er des déciles de revenus et que l’on retrouve dans les profils d’emprunteurs financés en 2018 à Paris. « En termes de pouvoir d’achat immobilier, jusqu’à maintenant, entre 2012 et 2017 la hausse des prix à Paris était compensée par le niveau des taux. Mais ce n’est plus le cas depuis que les prix ont passé le seuil symbolique des 9 000 € le m² début 2018 » analyse, Sandrine Allonier, porte-parole du courtier.

Les revenus nécessaires pour acheter à Paris ne font qu’augmenter ces dernières années. © Vousfinancer
A Paris, comptez plus de 10 000 €/m²
A Paris, devenir propriétaire d’un appartement ancien coûte, en moyenne, 10 034 € par m² en février 2019, soit une hausse de 6,6 % sur 1 an, selon les derniers chiffres du baromètre LPI-SeLoger. Dans 7 arrondissements (les IIIe, IVe, Ve, VIe, VIIe et XVIe), les prix dépassent même les 11 000 € du m². Ces prix records ne peuvent plus être compensés par les taux de crédit, qui restent pourtant historiquement attractifs. Cela entraine une baisse du pouvoir d’achat immobilier et une hausse des revenus nécessaires pour acheter dans Paris.

Le prix immobilier parisien quartier par quartier

Crédit : les banques allongent les durées pour compenser la hausse des prix
Dans ce contexte de hausse des prix de l’immobilier, on constate que, outre les revenus qui dépassent 100 000 € annuels pour les ménages acheteurs (hors primo-accédants), les montants d’apport sont aussi très importants (plus de 100 000 €) car souvent indispensables pour acheter une surface assez grande pour y vivre. Du côté des durées de prêt, on constate le même mouvement d’allongement des durées de prêt (22 ans et 4 mois en moyenne, soit une hausse de 10 mois sur un an à Paris) que dans le reste de la France, démontrant la volonté des banques de compenser la hausse des prix. « Même dans un contexte de taux très attractifs il y a un véritable risque de sortie du marché de certaines typologies d’acheteurs à Paris comme les ménages modestes ou les primo-accédants qui n’ont plus la possibilité d’acheter la surface dont ils auraient besoin. D’ores et déjà 98 % de nos clients à Paris ont un apport personnel contre 80 % en moyenne France entière.

Profils des emprunteurs parisiens pour acheter un bien immobilier

Age moyen 37 ans 33 ans 40 ans
Répartition 100 % 40 % 60 %
Revenu annuel 108 000 € 51 700 € 146 000 €
Apport moyen 122 500 € 48 500 € 172 000 €
Prêt moyen 324 500 € 259 000 € 368 000 €
Durée du prêt 22,4 ans 23,4 ans 21,7 ans
Actuellement l’allongement des durées de prêts permet de compenser en partie la hausse des prix, mais ce levier de solvabilisation commence à atteindre ses limites ».
Sandrine Allonier, porte-parole de Vousfinancer.

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Syndic de copropriété : des tarifs réglementés et des sanctions renforcées ? | Actualités

Le gouvernement va annoncer plusieurs mesures pour relancer la concurrence chez les syndics de copropriété : les sanctions contre ceux qui ne respectent pas la réglementation seront renforcées et certains tarifs seront davantage encadrés.

Jusqu’à 15 000 € d’amendes pour les syndics qui ne sont pas en règle ?
Selon les informations de nos confrères du Parisien, le Premier ministre, Edouard Philippe, devrait annoncer, lors d’un discours prononcé à l’occasion des 10 ans de l’autorité de la concurrence, plusieurs mesures pour relancer la concurrence chez les syndics de copropriété. L’objectif serait de permettre aux habitants de pouvoir choisir leur syndic en toute transparence, ou au moins en toute connaissance de cause. Le gouvernement souhaite notamment contraindre les syndics à respecter le « contrat type », qui les oblige normalement, depuis 2014, à présenter de la même façon les 560 000 contrats passés entre les copropriétés et les syndics. Pourtant, près de la moitié des contrats ne sont toujours pas conformes, selon une étude menée par la Répression des fraudes. Alors que jusqu’ici, aucune sanction n’était donnée, le gouvernement pourrait finalement décider d’instaurer des amendes à l’encontre des syndics de copropriété qui ne joueraient pas le jeu de la transparence dans les contrats : des amendes de 3 000 € pour les personnes physiques et de 15 000 € pour les personnes morales pourraient être mises en place.

Bon à savoir
4 % des copropriétés changent de syndic chaque année.

Syndics de copropriété : certains tarifs bientôt encadrés ?
En dehors des amendes à l’encontre des syndics qui ne respecteraient pas le « contrat-type », le gouvernement pourrait mettre en place l’encadrement de certains tarifs, voire le « plafonnement de certains actes ». Il pourrait notamment limiter la facturation de « l’état daté ». Rédigé par le syndic à la demande du notaire avant la signature d’un acte de vente, ce récapitulatif de la situation financière et juridique de la copropriété (procédures en cours, ect.) est facturé en règle générale aux alentours de 400 € aux futurs acquéreurs. Ces mesures seraient mises en place dans un contexte où la défiance des copropriétaires à l’égard de leur gestionnaire est de plus en plus prononcée : seuls 39 % des propriétaires interrogés par l’association de consommateur CLCV déclarent être « satisfaits » de leurs prestations. Malgré cela, les copropriétaires ne sont que 4 % à en changer chaque année. « Un syndic on le garde en moyenne 19 ans. Ce n’est pas la loi qui pousse les gens à en changer, mais ils le quittent généralement lorsqu’il y a un turn-over trop important des personnes qui s’occupent de leur immeuble », déclare Jean-Marc Torrollion à nos confrères.

Bon à savoir
Le non-respect du « contrat-type » pourrait désormais engendrer des amendes de 3 000 € pour les personnes physiques et de 15 000 € pour les personnes morales.

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Propriétaire : comment être sûr que votre locataire va payer son loyer ? | Location

L’une des hantises des propriétaires, c’est bien entendu que le locataire cesse de payer ses loyers. Pourtant, des solutions existent pour couvrir le risque d’impayés, voire pour obtenir la garantie d’un loyer versé chaque mois à date fixe.

Comment choisir un locataire fiable ?
Pour vous prémunir des risques de loyers impayés, il est impératif de choisir dès le départ un locataire fiable et solvable. Pensez donc à demander un maximum de pièces justificatives des revenus et de la gestion des candidats à la location, comme leur fiche de paie, leur avis d’imposition, etc. Certains organismes comme Youse proposent d’ailleurs de sélectionner pour vous les meilleurs candidats à la location en étudiant de près leur dossier et leur profil. Le locataire doit par ailleurs présenter de solides garanties, telles qu’un garant, qui peut être une personne physique ou une personne morale, et il doit idéalement disposer d’un dépôt de garantie, etc.

Bon à savoir
N’hésitez pas à solliciter les services de Youse, pour avoir l’assurance d’un garant fiable pour votre locataire.

Nouveau : un garant institutionnel qui reverse les loyers
Peu connue et pourtant sécurisante, l’option de la demande de garant en ligne promet de faire des adeptes. Pour ce faire, vous n’avez qu’à demander à un candidat à la location de se rendre sur un site de caution en ligne tel que Youse. Il devra alors renseigner des informations et faire une demande de garant en ligne, et il obtiendra une réponse dans les heures suivantes. Si son dossier est recevable, votre locataire obtient donc un garant fiable, et de votre côté, vous bénéficier d’une sécurité supplémentaire. Plus qu’un garant, Youse, propose de prélever chaque mois le loyer directement sur le compte du locataire, et il vous le verse lui-même. Vous avez donc la garantie de voir le loyer versé sur votre compte chaque mois à une date précise, et le locataire n’a qu’à ajouter une cotisation correspondant à un pourcentage du loyer pour ce service. En clair, pour le propriétaire, c’est totalement gratuit.

Bon à savoir
En cas d’impayés, c’est le garant en ligne (par exemple, Youse) qui assure le versement des loyers sans aucune carence. 

Demandez une caution simple, la caution solidaire ou la caution bancaire
La solution la plus commune consiste à demander aux candidats à la location d’apporter un garant, qui peut être un membre de la famille, un ami ou une banque. Le garant s’engage alors à verser les loyers si le locataire a cessé de les payer. On relève alors trois types de cautions :

La caution simple implique qu’en cas d’impayés, vous commencez par poursuivre le locataire, avant de vous retourner contre son garant.
La caution solidaire signifie que vous pouvez réclamer les loyers impayés directement au garant du locataire.
La caution bancaire signifie que le garant du locataire est une banque, mais cette solution est encore rare et nécessite de remplir plusieurs conditions.
Notez qu’il est important de présenter un acte de cautionnement contenant toutes les clauses nécessaires, et vous devez également vérifier la solvabilité du garant, autant que celle du locataire.

Bon à savoir
Les revenus du garant représentent une information importante, mais pensez à savoir s’il est déjà garant d’autres locataires. Cela pourrait réduire vos chances d’être indemnisé(e) en cas d’impayés de votre locataire.

La Garantie Visale proposée par Action Logement
Vous pouvez souscrire une garantie auprès d’Action Logement : la garantie Visale. Celle-ci couvre les loyers impayés, à condition que le logement constitue la résidence principale du locataire. Cette garantie court durant 3 ans, dans la limite de 36 mensualités. De plus, pour pouvoir être souscrite, le loyer de votre locataire ne doit pas excéder 1 500 € si le logement se situe à Paris, et 1 300 € s’il se situe partout ailleurs en France. Ainsi, en cas d’impayés, Action Logement vous rembourse le montant que vous doit le locataire, et l’organisme se retourne ensuite vers le locataire. Cette garantie s’adresse aux locataires présentant certaines caractéristiques, par exemple :

Un locataire salarié ou non, qui occupe un logement du parc privé, et dont le bail est souscrit par une association qui se porte garant.
Un salarié de plus de 30 ans du secteur privé, à partir du moment où l’entrée dans le logement a lieu dans les 6 mois suivant sa prise de fonction.
Une personne de 30 ans ou moins, salarié, étudiant, chômeur, fonctionnaire, etc.
Notez que dorénavant, la garantie Visale couvre également les dégradations faites dans le logement.

Bon à savoir
Le loyer ne doit pas excéder 50 % des revenus du locataire.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Rent 2019 : rendez-vous les 6 et 7 novembre prochain dans le parc des expositions de la Porte de Versailles.

L’opus 2019 change de site. En attendant l’édition 2019, retour sur les temps forts du salon RENT 2018.

Comprendre les attentes des clients d’aujourd’hui
Vingt conférences et tables rondes ont eu lieu pendant l’édition 2018 du salon RENT – Real Estate & New Technologies. Les informations et les chiffres présentés permettent aux professionnels de mieux comprendre les attentes des clients d’aujourd’hui, vendeurs comme acheteurs, et d’adapter leurs démarches marketing et commerciales. Ces conférences sont diffusées sur la chaîne « Salon RENT » de YouTube. Les synthèses des quatre conférences retenues ici s’appuient sur des chiffres clés extraits d’études et de sondages fiables. Ces données sont les bases de stratégies commerciales fondées sur un marketing quantitatif.

Les principaux chiffres de l’immobilier sur Internet
En France, plus de 8 individus sur 10 sont internautes, dit autrement, chaque mois, 84 % des Français se connectent à Internet et ils y passent plus d’une heure et demie chaque jour. Ces internautes sont de plus en plus des «mobinautes» car la moitié d’entre eux se connecte à Internet via leur mobile. A l’international, on retrouve des chiffres semblables, ce qui conforte le caractère fondamental et durable de ces données. Pour l’immobilier, l’audience Internet est soutenue avec plus de 21 millions de visiteurs uniques chaque mois sur les sites spécialisés. L’immobilier est passé « mobile first » en 2018 quand l’audience des smartphones a dépassé celles des ordinateurs. Les cinq premiers portails immobiliers cumulent 17 millions de visiteurs en juin 2018, contre 4,9 millions pour les cinq premiers sites de réseaux immobiliers.

Ce qu’il faut retenir :
Vos clients sont des internautes et leur projet immobilier passe par Internet.

Les nouvelles attentes des consommateurs dans l’immobilier
Les consommateurs de l’immobilier sont impatients : 53 % des visites sont abandonnées si un site mobile prend plus de 3 secondes à charger ! Demain, la recherche immobilière sera vocale : 39 % des internautes français utilisent cette  technique au moins une fois par semaine et 84 % s’attendent à ce qu’il soit possible de chercher tout et n’importe quoi en utilisant la voix. Et elle ne passera plus par des formulaires : 70 % des requêtes sont en langage naturel, par exemple : « Je cherche une maison d’architecte avec piscine près d’ici ». Le déménagement est une source de stress pour 70 % des Français. Les professionnels sont les mieux placés pour les accompagner.

Ce qu’il faut retenir :
Les attentes et les usages de vos clients évoluent très rapidement, mais le besoin d’expertise reste fort.

Données extraites de l’intervention de Betsy Annen, Google.

Répondre aux attentes des vendeurs
La vente immobilière est un processus long, qui peut prendre 15 mois : 6,7 mois entre le début de la réflexion et la mise en vente ; 5,7 mois entre la mise en vente et la signature du compromis ; puis 3 mois jusqu’à la vente. Lors de la mise en vente, 79 % des vendeurs sont enthousiastes et 53 % sont inquiets. 80 % ont peur de ne pas vendre au prix espéré et 63 % de ne pas vendre assez vite.

76 % des vendeurs commencent par rechercher les prix sur Internet et la moitié prend contact directement avec une agence. Pour déterminer le prix de vente, 51 % passent par un agent immobilier et 44 % par un service d’estimation en ligne, mais 75 % des particuliers ne disent pas à l’agent qu’ils ont déjà réalisé une estimation en ligne. Les vendeurs attendent beaucoup de leur agent immobilier ! Savoir ce que veulent les acheteurs, organiser les visites, rapprocher vendeurs et acheteurs, filtrer les acheteurs, définir le prix, trouver rapidement des acheteurs… 46% des vendeurs déclarent passer uniquement par une agence, 29 % en direct et par une agence, et  22% entre particuliers uniquement. Mais finalement,  62 % des ventes sont faites avec une agence et 34 % entre particuliers. Les vendeurs essayent de vendre sans passer par une agence afin d’économiser les frais d’agence (57%) et gagner du temps (23 %). Et 22 % déclarent qu’ils n’ont pas confiance dans les agences. L’image des agents est bonne pour 53 % des vendeurs et 64 % trouvent qu’il est difficile de choisir une agence. Pour cela ils privilégient le bouche-à-oreille (20 %), Internet (19 %) et les vitrines (19 %). L’agence est retenue sur sa réactivité (97 %), sa connaissance du marché (37 %) et la confiance inspirée. L’estimation vient en quatrième position.

Pendant la mise en vente, les vendeurs veulent avant tout être tenus au courant de ce qui se passe : 84 % souhaitent avoir un rapport détaillé sur l’estimation du bien et 77 % veulent suivre les comptes rendus de visites. Vendre avec une agence est nettement plus efficace : 93 % de réussite contre 77 % pour la vente entre particuliers.

Les vendeurs pensent que les agents immobiliers n’ont pas assez recours aux outils digitaux à 54 %.

Ce qu’il faut retenir :
Les attentes des vendeurs vis-à-vis des agences sont très fortes, notamment dans le suivi de la relation. Y répondre et montrer l’efficacité des agences permettra de gagner des parts de marché sur les ventes entre particuliers.

L’immobilier une passion française
L’évocation spontanée vis-à-vis de l’acquisition immobilière est l’engagement ; c’est un choix de vie autant qu’une opération financière. L’immobilier est l’engagement d’une vie (36 %), avant la signature d’un CDI (35 %) ou un mariage (29 %). 63 % des acheteurs souscrivent un emprunt de plus de 16 ans alors que la durée moyenne d’un mariage est de 15 ans. 51 % des acheteurs trouvent difficiles les démarches d’achat immobilier. Mais ils sont 62 % à être totalement sereins face à la recherche d’un bien. La principale préoccupation des acheteurs est de se projeter dans un futur lieu de vie. Pour cela, les acheteurs veulent des photos (59 %), des informations de proximité (55 %). Le diagnostic énergétique est demandé à 45 %, il est entré dans les réflexes. Plus précisément, les informations de proximité attendues sont les temps de transport, les services locaux, le niveau de bruit et l’ensoleillement. L’immobilier reste un marché complexe aux yeux de plus de 80 % des Français.

Ce qu’il faut retenir :
Engagement fort et marché complexe, le besoin d’accompagnement des acheteurs est réel. C’est une opportunité forte pour les professionnels.

Sourced through Scoop.it from: www.journaldelagence.com

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Stéphane Plaza : une agent immobilier enlevée et séquestrée pendant une visite d’appartement – Gala

Un vendredi pas comme les autres. Le 1er mars dernier, en pleine journée, une directrice d’agence immobilière Stéphane Plaza de la ville d’Auxerre, dans l’Yonne, est « menacée par une arme de poing », en pleine visite d’appartement par un faux client. D’après le parquet d’Auxerre, et selon les informations du magazine Closer, l’homme aurait alors demandé sous la contrainte à la commerciale de le conduire jusqu’à Blois, dans le Loir-et-Cher. 220 kilomètres entre les deux villes !

La directrice a passé toute la nuit avec ce faux client avant qu’il ne la libère samedi matin « sur le parking de la gare de Blois ». Pour l’heure, l’homme n’a pas encore été retrouvé. C’est la brigade de recherches d’Auxerre et la section de recherches de Dijon qui sont en charge de l’identifier et de l’interpeller. On ne connait pas encore les raisons de son acte, mais une enquête pour enlèvement et séquestration a été ouverte. Quant à la jeune femme, qui travaille pour l’animateur star de la chaîne M6, elle est dès à présent prise en charge par une association d’aide aux victimes.

Maison à vendre, Chasseurs d’appart… Les programmes de Stéphane Plaza réunissent régulièrement plus de 2,5 millions de téléspectateurs et constituent l’un des succès de la chaîne M6. Deux autres formats sont même en préparation pour le printemps. «  Une émission de déco, en mars, et une autre qui consistera à offrir à une famille méritante une maison qu’elle devra rénover  », précisait il y a un peu Stéphane Plaza, au journal LeMonde. Résultat : Stéphane Plaza surfe sur ce succès est son entreprise immobilière ne connait pas la crise. Elle vient de dépasser le seuil des 400 agences et il se fixe comme objectif de parvenir à 500 points de vente en 2020 !

Sourced through Scoop.it from: www.gala.fr