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Loi Denormandie : jusqu’ à 90 % des annonces éligibles dans les villes concernées | Actualités

Récemment mise en place dans 222 villes moyennes, la loi Denormandie devrait profiter à de nombreux acheteurs immobiliers. Dans près d’une ville sur deux éligibles à ce dispositif, plus de 90 % des logements mis en vente sur SeLoger sont concernés.  

A Limoges, 93 % des logements sont éligibles à la loi Denormandie
Pour augmenter l’offre des logements dans les villes moyennes, le ministre en charge du Logement, Julien Denormandie, a décidé de mettre en place un nouveau dispositif fiscal. L’objectif principal de la loi Denormandie est d’inciter les investisseurs immobiliers à rénover des logements anciens dans les centres-villes où les habitations sont vides (vacants) ou en mauvais état, avant de les mettre en location. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le nombre de logements éligibles au dispositif est énorme ! Ainsi, sur les 222 villes moyennes concernées par le dispositif Denormandie, 9 villes* présentent un taux d’annonces éligibles de plus de 90 %. Sur SeLoger, c’est à Limoges, que l’on trouve le plus d’annonces immobilières éligibles au dispositif (93,2 %). La préfecture de la Haute-Vienne devance légèrement Mulhouse (93,1 %), Tarbes (92,1 %), Chalon-sur-Saône (92,1 %), Château-Thierry (91,8 %), Dieppe (90,7 %), Pau (90,6 %), Corbeil-Essonnes (90,4 %) et enfin Quimper (90,2 %). Au total, sur les 222 villes moyennes concernées par le dispositif sur l’ensemble du territoire, 95 présentent un taux d’annonces éligibles supérieur à 90 % et 194 un taux supérieur à 80 %.

Denormandie : Top 10 des villes avec le plus de logements éligibles
VILLES TAUX D’ANNONCES ÉLIGIBLES
Limoges 93,2 %
Mulhouse 93,1 %
Tarbes 92,1 %
Chalon-sur-Saône 92,1 %
Château-Thierry 91,8 %
Dieppe 90,7 %
Pau 90,6 %
Corbeil-Essonnes 90,4 %
Quimper 90,2 %
Evreux 89 %

Bon à savoir
Dans 43 % des villes concernées par le dispositif Denormandie, le taux des logements éligibles dépasse les 90 %.

60 % des logements vacants sont situés dans les villes moyennes
Ce taux d’éligibilité élevé, dans la plupart des communes concernées par le dispositif Denormandie, n’a rien de surprenant. Selon une étude de l’INSEE datant de 2018, sur les 8 % de logements vacants que compte la France métropolitaine, 60 % se trouvent dans une commune rurale ou dans une agglomération de taille moyenne, soit le type de communes concernées par le dispositif. Cela résulte du vieillissement de la population, de l’obsolescence du parc de logements ainsi que des difficultés économiques rencontrées par de nombreuses villes moyennes. Dans celles-ci, un grand nombre de logements ne sont notamment pas mis en vente ou en location suite au départ en maison de retraite de personnes âgées. A contrario, les logements vacants sont moins nombreux dans les très grandes agglomérations, ainsi que dans celles situées sur les espaces les plus attractifs de l’Hexagone, comme le littoral atlantique, l’est de la région Rhône-Alpes ou la Corse : cela explique le fait que le taux d’éligibilité au dispositif Denormandie est moindre dans ces régions que dans les régions du Centre, du Massif central, ou du Grand Est, où le taux de vacance des agglomérations dépasse les 9 %.

Chiffres clés
La France compte environ 3 millions de logements vacants : leur nombre a progressé de 2,8 % entre 2013 et 2018.

Loi Denormandie : 6 régions présentent un taux d’éligibilité supérieur à 90 %
Au niveau des régions, nous pouvons constater que 6 présentent un taux d’annonces éligibles au dispositif Denormandie supérieur à 90 %. C’est la Lorraine, où 12 villes sont concernées par le dispositif, qui arrive en tête : 92,5 % des logements vendus y sont éligibles. Le Limousin (4 villes concernées) suit de très près avec 92,4 % de logements éligibles, suivi par la Champagne-Ardenne (7 villes, 92,1 %), le Nord-Pas-de-Calais (14 villes, 91,7 %), l’Auvergne (8 villes, 91,1 %), puis la Basse-Normandie (7 villes, 90,4 %).

9 régions présentent un taux d’éligibilité supérieur à 85 %
Il s’agit de la Bourgogne (9 villes, 89 %), du Centre (13 villes, 88,9 %), du Poitou-Charentes (8 villes, 88,1 %), de l’Alsace (5 villes, 88 %), de la Franche-Comté (6 villes, 87,8 %), de la Haute-Normandie (5 villes, 87,7 %), du Midi-Pyrénées (15 villes, 86,7 %), du Rhône-Alpes (17 villes, 85,5 %) et des Pays-de-la-Loire (9 villes, 85,1 %).

Seules 7 régions présentent un taux d’éligibilité inférieur à 85 %
La Picardie (9 villes, 84,8 %), le Languedoc-Roussillon (10 villes, 84,7 %), l’Aquitaine (11 villes, 84,3 %), la Bretagne (11 villes, 81 %), la PACA (13 villes, 79,2 %), l’Île-de-France (22 villes, 78,8 %) et la Corse, où seulement 2 villes sont éligibles (Bastia et Ajaccio), pour un taux d’éligibilité de 74,4 %.

Annonces disponibles sur SeLoger éligibles au dispositif Denormandie. 

222 villes concernées par le dispositif Denormandie
95 villes présentent un taux d’annonces éligibles supérieur à 90 %.
194 un taux d’annonces éligibles supérieur à 80 %.
Dispositif Denormandie : futur grand succès auprès des investisseurs ?
En observant les taux d’éligibilité mis en lumière par SeLoger, on ne voit pas ce qui pourrait empêcher le dispositif Denormandie de devenir un grand succès auprès des investisseurs immobiliers. En effet, il offre un maillage du territoire optimal : les investisseurs de toutes les régions peuvent en bénéficier. Ce n’était pas forcément le cas du dispositif Pinel ancien, réservé aux zones tendues. Pour rappel, comme pour Pinel, le dispositif Denormandie permet de déduire de ses impôts 12 % à 21 % du montant de l’investissement réalisé : l’avantage fiscal varie en fonction de la durée sur laquelle l’investisseur s’engage à louer le bien (6, 9 ou 12 ans). Pour en bénéficier, il est indispensable que le montant des travaux réalisés représente au moins 25 % du total de l’opération immobilière. Le dispositif n’est pas soumis à des impératifs en matière de consommation énergétique. Précisons que le dispositif Denormandie est réservé aux 222 villes moyennes bénéficiant du soutien de l’Etat dans le cadre du programme « Action coeur de ville », ainsi qu’aux communes qui ont signé avec l’Etat des conventions de revitalisation du territoire (ou ORT). Selon le gouvernement, la dépense fiscale correspondante à ce nouveau dispositif devrait s’établir à 120 millions d’euros en 2019.

Bon à savoir
Pour bénéficier du dispositif Denormandie, les travaux réalisés par l’investisseur doivent représenter au mois 25 % du coût de l’opération immobilière.

*Villes dans lesquelles plus de 500 annonces sont répertoriées par SeLoger.

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Immobilier de luxe : quelles sont les destinations préférées des grandes fortunes ? | Actualités

Les plus grandes fortunes de la planète sont toujours à la recherche de nouveaux lieux, de nouveaux biens rares, à la situation exceptionnelle. Mais parmi les multiples destinations de rêve, quelles sont celles qui retiennent le plus leur attention ?

Hong-Kong, n°1 des villes les plus recherchées dans l’immobilier de luxe
La clientèle haut de gamme est toujours à la recherche de patrimoine d’exception, et ce, qu’il s’agisse de capitales, de beaux lieux de villégiature ou d’adresses exclusives. Mais s’il y a bien une destination qui attire le plus les plus grandes fortunes, c’est Hong-Kong, si l’on en croit la dernière étude Barnes, spécialiste de l’immobilier de Luxe. Ville phare de l’Asie et véritable poumon économique, Hong-Kong attire visiblement chaque jour un peu plus une population fortunée, généralement venue pour les affaires. Nombreux sont les cadres de la finance à venir s’y installer pour y travailler… De quoi faire grimper les prix de l’immobilier en flèche ! Hong-Kong se classe parmi les villes les plus chères du monde avec une moyenne de 38 000 $/m² pour l’immobilier de luxe et ce n’est qu’une moyenne car selon les quartiers, les prix peuvent grimper jusqu’à 170 000 $/m². À ce prix là, les exigeances des acquéreurs sont nombreuses : biens avec vue sur la mer, appartements situés en hauteur avec balcons et parking, services et conciergerie, chambre pour le personnel… Tout se fait dans le détail. En ce qui concerne les quartiers privilégiés, on retrouve notamment Causeway Bay (le plus cher), Happy Valley (prisé par les expatriés), Sheung Wan, Mid Leves et Victoria Peak, apprécié pour ses sous-bois tropicaux.

Et à part Hong Kong ?
Dans le Top 5 des grandes villes préférées par les plus grandes fortunes, on retrouve certes Hong-Kong, mais pas que ! La ville est suivie par New-York, Los Angeles, Toronto et Paris. Pour la première fois depuis de nombreuses années, Londres sort du classement…

En bord de mer, les grandes fortunes privilégient la Sardaigne et la Côte d’Azur
Dans l’immobilier de luxe, les biens en bord de mer, avec vue, sont parmi les plus recherchés sur le marché. Il semble que les grandes fortunes jettent leur dévolu du côté de la méditérranée pour réaliser leurs projets. Leur destination préférée ? La Sardaigne, et notamment Porto Cervo ! Cette petite station balnéaire située au nord de l’île accueille exclusivement une clientèle internationale huppée et jet-set. Les acquéreurs recherchent des villas avec piscine et vue sur mer, dans la marina de préférence, face à l’anneau bateau. Pour y investir, il faut compter en moyenne 10 000 €/m² pour un bien haut de gamme et 20 000 €/m² pour un bien d’exception. Porto Cervo est suivie de près par la Côte d’Azur, qui reste toujours un lieu privilégié pour les grandes fortunes. Les propriéts sur les hauteurs de Cannes ou du Cap d’Antibes avec vue sur mer restent ainsi très prisés par les acheteurs. Pour un appartement, il faut compter en moyenne 10 000 €/m² et 25 000 €/m² pour une villa… Mais parmi les autres destinations favorites du bord de mer, on retrouve aussi les Baléares, les Hamptons et Mykonos.

Non pas une mais 5 propriétés à la clé !
10 % des plus grandes fortunes, soit plus de 25 000 personnes dans le monde, possèdent plus de 5 propriétés dans différents pays. Leur objectif : s’implanter dans les principaux « hubs économiques » internationaux ou les beaux lieux de villégiature.

Du côté de la montagne, cap sur les Alpes suisses !
Lorsqu’il s’agit d’immobilier de luxe à la montagne, les grandes fortunes se tournent davantage vers les Alpes suisses. Leurs coins privilégiés ? Verbier, Gstaad, Crans-Montana et Zermatt. Connues dans le monde entier pour leur charme chic et pour leur raffinement, ces petits villages de montagne sont très prisés par la clientèle internationale qui recherchent avant tout des appartements ou des chalets vastes mais discrètement luxueux et si possible situés non-loin du centre. Les prix de l’immobilier varient bien évidemment selon la situation géographique et selon le type de bien. Pour un appartement, les prix vont de 14 000 CHF à 32 000 CHF et pour un chalet, de 15 000 CHF à 50 000 CHF. Mais si les grandes fortunes semblent apprécier les Alpes suisses pour leur achat à la montagne, elles aiment aussi les Alpes françaises et autrichiennes, ainsi qu’Aspen au Colorado et Courmayeur dans les Alpes italiennes. Les vastes chalets tout confort offrant des services de conciergerie et bénéficiant des plus belles vues, ont toujours la cote, et ça n’est pas près de s’arrêter. Les prix de l’immobilier y sont en effet généralement moins élevés qu’en Alpes suisses. On compte 14 000 €/m² en moyenne pour les appartements haut de gamme dans les Alpes françaises, 25 000 €/m² pour un chalet dans les Alpes autrichiennes, 22 200 USD à Aspen pour un appartement haut de gamme et 14 000 € pour un chalet dans les Alpes italiennes.

Bon à savoir
14 000 €, c’est le prix au m² d’un appartement de prestige dans les Alpes françaises.

Et demain, quelles destinations pour les grandes fortunes ?
VILLES PRIX AU M² DES APPARTEMENTS PRIX AU M² DES MAISONS
Lisbonne 7 500 € 5 500 €
Porto 4 500 € 4 500 €
Madrid 6 000 € 12 000 €
Montréal 10 000 USD 8 200 USD
Miami Entre 13 500 USD et 14 500 USD Entre 6 500 USD et 7 500 USD

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Crédit immobilier : des taux toujours inférieurs à 1,8 % sur toutes les durées ! | Actualités

Après une année 2018 exceptionnelle, les taux des crédits immobiliers restent très attractifs en ce début d’année 2019. Ils sont inférieurs à 1,8 % sur l’ensemble des durées d’emprunt. Les meilleurs profils peuvent même emprunter à 1,5 % sur 25 ans.

Taux moyen du crédit immobilier sur 7 ans : 0,84 %
Alors que le mois d’octobre 2018 avait été celui de l’apothéose en matière de prêt immobilier, avec des taux pouvant atteindre 1,20 % sur 20 ans, les conditions d’emprunt restent très attractives en ce début d’année 2019. Ainsi, le mois de février démarre avec peu de variations par rapport au mois précédent, qui avait déjà vu les taux moyens se stabiliser. En y regardant de plus près, nous pouvons constater que par rapport à janvier, les taux généralement constatés diminuent sur 4 des 6 durées étudiées par La Centrale de Financement, courtier en crédit immobilier. En effet, les taux d’emprunt sur 10, 15 et 25 ans baissent de 0,01 %, pour atteindre respectivement 1,01 %, 1,24 % et 1,71 %. Sur 7 ans, ils reculent de 0,02 %, atteignant 0,84 %. Par contre, les taux de crédit sont stables sur 12 ans (1,16 %) et 20 ans (1,45 %). Par conséquent, en février 2019, pour un montant emprunté de 150 000 € sur 25 ans à 1,71 %, la mensualité s’élève à 614,85 € pour un coût total de crédit de 34 455 €.

Crédit immobilier : les taux moyens constatés en février 2019
DURÉES D’EMPRUNT TAUX MOYENS
7 ans 0,84 %
10 ans 1,01 %
12 ans 1,16 %
15 ans 1,24 %
20 ans 1,45 %
25 ans 1,71 %
Conseil SeLoger
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Les meilleurs profils peuvent emprunter à 1,25 % sur 20 ans
Au niveau des meilleures conditions offertes aux emprunteurs, en ce début d’année 2019, nous constatons une seule diminution de 0,03 % sur les prêts à 7 ans : sur cette durée, les meilleurs profils d’emprunteurs peuvent obtenir un crédit immobilier au taux de 0,45 %. En revanche, les meilleurs taux d’emprunt restent identiques au mois précédent sur les durées de 10 ans (0,70 %), 12 ans (0,90 %) et 20 ans (1,25 %). Enfin, nous recensons deux augmentations par rapport au mois de janvier. Ainsi, les taux augmentent de 0,02 % sur les prêts à 15 ans, se positionnant à 1,05 % hors assurance, tandis qu’ils progressent de façon plus conséquente (+ 0,09 %) sur la plus longue durée de 25 ans : les meilleurs taux atteignent 1,5 % sur cette durée d’emprunt. Les conditions d’emprunt restent donc très attractives en ce début d’année, mais avec la mise en place du prélèvement à la source, on risque d’assister à un report des projets d’achats immobiliers des ménages français au cours du premier semestre 2019.

Chiffres clés
En décembre 2018, 82 % des emprunts immobiliers servaient à financer l’achat d’une résidence principale. Les investissements locatifs ne représentaient que 17 % des dossiers.

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Prix immobilier : habiter à Pessac coûte plus cher qu’à Argenteuil dans le Grand Paris ! | Actualités

Que Pessac profite de la flambée des prix bordelais ou qu’elle en soit la victime collatérale, les faits sont là : en 2018, le prix de l’immobilier s’est envolé. Il coûte désormais plus cher d’habiter à Pessac qu’à Argenteuil dans le Grand Paris.

Après Bordeaux, Pessac : la frénésie immobilière est contagieuse !
Selon les chiffres compilés par le baromètre LPI-SeLoger, c’est à Pessac que le prix de l’immobilier a le plus augmenté au cours de l’année 2018. Le prix des logements dans une ville étant proportionnel à son attractivité, ainsi qu’au niveau de la demande dont elle fait l’objet, pour quelle raison cette commune d’à peine plus de 60 000 habitants, principalement connue pour le vin (à consommer avec modération) qui y est produit, voit-elle le prix de son immobilier s’enflammer subitement ? La réponse à cette question se trouve à un peu moins de six kilomètres de Pessac, à Bordeaux, plus exactement car bien que la hausse des prix des logements bordelais tende actuellement à quelque peu ralentir, force est de constater que depuis quelque temps déjà, il coûtait de plus en plus cher, mois après mois, d’acquérir un logement dans la préfecture de la Gironde. Tant et si bien que bon nombre d’acquéreurs, devenus incapables de devenir propriétaires dans Bordeaux même, n’ont eu d’autre choix que d’élargir leur périmètre de recherche. Pour beaucoup d’entre eux, c’est sur les communes avoisinantes, et tout particulièrement sur Pessac, que leur choix s’est arrêté. La demande de logements allant crescendo, les prix pessacais ont rapidement pris le même chemin.

3 016 €/m² à Pessac VS 2 923 €/m² à Argenteuil dans le Grand Paris
La proximité de Bordeaux serait-elle plus impactante, en termes de hausse des prix immobiliers, que l’appartenance à la métropole du Grand Paris (MGP) ? Toujours est-il que même si Pessac compte presque deux fois moins d’habitants qu’Argenteuil, les prix des logements y progressent plus vite. Sur les douze derniers mois, le prix de l’immobilier à Pessac enregistre une hausse de 13,2 % quand, dans le même temps, le prix immobilier à Argenteuil n’augmente que de 0,4 %.  Les prix des logements sont aussi plus élevés à Pessac qu’ils ne le sont à Argenteuil. Le prix moyen d’un appartement ancien à Pessac dépasse, en moyenne, les 3 000 €. Plus précisément, le prix immobilier à Pessac atteint 3 016 € du m², alors qu’en comparaison, le prix au mètre carré à Argenteuil est d’environ 2 923 €. Mais si le marché immobilier pessacais, sous influence bordelaise, se caractérise par une forte tension et un centre de gravité qui s’est clairement déplacé du côté des vendeurs, le marché immobilier argenteuillais, quant à lui, est loin d’être amorphe. En raison de sa proximité avec Paris (la gare Saint-Lazare n’est qu’à un ¼ d’heure !), le centre-ville d’Argenteuil fait le bonheur de ceux qui travaillent dans la capitale mais aspirent à vivre dans une maison. Quant à la rénovation dont fait actuellement l’objet Argenteuil, elle devrait contribuer à booster l’attractivité de la ville.

Bon à savoir
Sur les douze derniers mois, le prix progresse de 13,2 %, à Pessac.
Combien devez-vous gagner pour acheter un appartement à Pessac ?
Prix du bien immobilier (hors frais de notaire et d’agence) : 206 294 € (surface moyenne (*) d’un logement ancien en Gironde x prix au m²) 
Montant total de l’acquisition (frais de notaire et d’agence inclus) : 236 185 €
Mensualité du crédit sur 20 ans : 1 220 €
Revenu minimal : environ 3 660 € par mois.
(*) En Gironde, la surface habitable moyenne est de 63,5 m² (Source : LPI-SeLoger).

Les points clés à retenir
À Pessac, les prix des logements augmentent deux fois plus vite qu’à Paris.
Grâce à (ou à cause de) la proximité de Bordeaux, il coûte plus cher d’acheter à Pessac qu’à Argenteuil.

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Immobilier de montagne : top 3 des stations alpines les plus chères | Actualités

Les stations alpines sont renommées dans le monde entier pour leurs domaines skiables d’exception et les prix de l’immobilier peuvent y atteindre des sommets. Val d’Isère, Courchevel, Megève… combien coûte un logement dans les stations de ski les plus chères ?

1. Val d’Isère, Savoie : 13 406 €/m²
Située en Haute-Tarentaise, dans le massif de la Vanoise, Val d’Isère est considérée comme l’une des capitales mondiales du ski. L’ancien petit village de haute montagne est également devenu l’une des stations alpines où l’immobilier est le plus prisé. Par voie de conséquence, c’est également la station de sports d’hiver la plus chère du massif des Alpes, avec un prix moyen du m² atteignant 13 406 €, selon les dernières données recueillies par SeLoger. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’immobilier de prestige n’est pas en reste, loin s’en faut : 62 % du patrimoine immobilier de la station alpine est constitué par des biens de luxe. De plus, le nombre de logements dont la valeur dépasse le million d’euros s’élève à 23. Très attractive, la station fait également les beaux jours des promoteurs immobiliers. Ainsi, la part de l’immobilier neuf dans la station de Val d’Isère est considérable : elle atteint 19 % aujourd’hui.

Le domaine de Tignes-Val d’Isère est le plus cher des Alpes avec un prix du m² atteignant 9 474 €. © A. Demotes
Les 3 domaines skiables les plus chers des Alpes
DOMAINES SKIABLES PRIX MOYEN AU M²
Tignes-Val d’Isère 9 474 €
Evasion Mont-Blanc 6 088 €
Portes du Soleil 5 474 €

2. Courchevel, Savoie : 11 059 €/m²
Organisée autour de 5 villages et située au coeur du département de la Savoie, dans la vallée de la Tarentaise, Courchevel est la seconde station de sports d’hiver la plus chère du massif des Alpes : le prix moyen du m² y atteint 11 059 € selon les dernières données recueillies par SeLoger. La station a toujours la cote auprès de la clientèle fortunée : l’immobilier de prestige représente 32 % du parc immobilier de la station, située dans le domaine skiable des Trois-Vallées et renommée dans le monde entier pour son hôtellerie et ses commerces de luxe. En y regardant de plus près, nous pouvons constater que le nombre de biens immobiliers dont la valeur dépasse le million d’euros atteint 77 ! C »est deux fois plus qu’à Val d’Isère. En revanche, l’immobilier neuf n’est pas très dynamique à Courchevel. En effet, alors que les logements neufs représentent 19 % du parc immobilier de Val d’Isère, ils ne représentent que 2 % des logements de Courchevel.

Courchevel bénéficie d’une image prestigieuse dans le monde 

3. Megève, Haute-Savoie : 9 335 €/m²
Très appréciée des clients fortunés, Megève est souvent considérée comme la station de sports d’hiver la plus chère de France. Et pourtant, la station de Haute-Savoie arrive « seulement » en 3e position du classement des stations les plus chères du massif des Alpes, avec un prix du m² qui atteint 9 335 € en moyenne, contre 13 406 € à Val d’Isère et 11 059 € à Courchevel. Si le prix moyen du m² est inférieur aux deux stations savoyardes, la station située dans le domaine skiable « Evasion Mont-Blanc » est imbattable en ce qui concerne l’immobilier de prestige : le nombre de logements dont la valeur dépasse le million d’euros atteint 167, c’est 7 fois plus qu’à Val d’Isère et plus de 2 fois plus qu’à Courchevel. Au total, l’immobilier haut-de-gamme représente 33 % du parc de logements de la station. Enfin, à Megève, le taux de logements neufs atteint 6 %. Cela montre que la station est toujours attractive et continue d’attirer les investisseurs.

Megève est située au cœur du domaine skiable « Evasion Mont-Blanc ». 
Les 3 domaines skiables les moins chers des Alpes
Paradiski (la Plagne, Les Arcs…) : 3 141 €/m².
Grand Massif (Flaine, Morillonet, etc.) : 3 452 €/m²
Les Trois Vallées (Courchevel, Les Menuires, Val Thorens…) : 4 695 /m².

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Immobilier : « l’espoir de plus-value constitue un levier d’ascension sociale »

Pour éviter les effets d’aubaine dans les villes où les prix ont fortement augmenté, Emmanuel Macron a évoqué la piste d’une réforme de la fiscalité des plus-values immobilières. Henry Buzy-Cazaux, président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers, s’élève contre l’idée d’un alourdissement de la fiscalité de l’immobilier qui, selon lui, pénaliserait les propriétaires.
Dans le cadre du Grand débat national, Emmanuel Macron est apparu particulièrement réceptif à l’idée de mieux « réguler » certaines plus-values immobilières. Pourquoi cette intention provoque-t-elle votre colère ?

Henry Buzy-Cazaux : Emmanuel Macron a en effet été conduit à réagir à une idée émise lors d’un échange organisé dans le cadre du Grand débat sur la pertinence d’imposer la plus-value de cession des résidences principales. Rappelons qu’à ce jour ne sont imposées sur les plus-values que les ventes de logements locatifs, c’est à dire achetés pour être loués, et les résidences secondaires.

En clair, les logements occupés par leurs propriétaires font figures d’exception dans le paysage fiscal. En première approche, on peut comprendre que le chef de l’Etat souhaite un alignement, mais c’est une lecture hâtive. Aujourd’hui, celui qui achète sa résidence principale n’est en aucun cas dans une démarche de spéculation et il doit la valorisation de son bien à plusieurs causes.

Parmi ces causes, les travaux d’entretien et de rénovation comptent pour beaucoup. Certes, l’urbanisme ou encore l’aménagement du territoire sont des variables. L’exemple de Bordeaux, pris par Emmanuel Macron, est à cet égard pertinent : entre l’effet TGV et la transfiguration de la ville, les prix ont été multipliés par trois en moins de vingt ans. Peut-on dire pour autant que les propriétaires n’y sont pour rien ? En tant que contribuables, redevables de l’impôt sur le revenu – qui permet le développement des infrastructures – et de la taxe foncière comme de la taxe d’habitation, en tant que citoyens, ils ont pris leur part à cet élan. Ils ne peuvent payer subir la double peine.

Et puis il faut être clairs, dans des circonstances économiques structurellement difficiles pour les ménages, cet espoir de plus-value constitue un levier d’ascension sociale : comment voulez-vous qu’un ménage qui a besoin d’une pièce de plus parvienne à acheter en suivant l’évolution des prix sans cet apport, alors que son pouvoir d’achat par les revenus du travail n’aura pas cru ? Oui, je suis en colère que le chef de l’Etat ne prenne pas ces éléments en considération.

Faut-il vraiment, selon vous, revoir la manière de « réguler » les plus-values réalisées sur certains logements ?

On peut mettre plus d’équité ou d’intelligence dans le mécanisme de taxation des plus-values aujourd’hui, et le Grand débat aborde le sujet à bon droit. Par exemple, ne faut-il pas réduire la taxation pour quelqu’un qui réinvestit dans un logement locatif dont il s’engage à modérer le loyer pendant plusieurs années ?

On pourrait aussi entendre que les plus-values les plus fortes, ramenées à la période de détention, fassent l’objet d’une taxation. En somme, pas de décision à l’emporte-pièce, mais une réflexion de fond.

Que penser également de la récente suggestion du think tank Terra Nova qui préconisait d’alourdir les droits de succession ?

La suggestion de Terra Nova est singulière : on sait que les Français veulent aujourd’hui accomplir deux gestes, préparer leur retraite en devenant propriétaires et protéger leurs enfants ou leurs proches en transmettant de la pierre, avec la solidité qui y est attachée.

Les droits de succession, progressifs selon la valeur consolidée des actifs transmis, sont aujourd’hui déjà très lourds. A tout le moins ne faut-il pas les alourdir. On pourrait même plutôt les alléger pour les héritages en ligne directe sur les quatre ou cinq cents premiers milliers d’euros.

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Immobilier : que représente vraiment la plus-value sur les résidences principales ?

Les propriétaires ne vendent pas systématiquement leur résidence principale pour s’enrichir, comme l’explique le journaliste Jean-Paul Chapel sur le plateau de France 2. "Quand on vend sa résidence principale, dans 88% des cas, c’est pour acheter un logement plus grand ou plus petit. Dans 12% des cas, le propriétaire vend pour déménager dans une autre région, le plus souvent pour des raisons professionnelles. Les ventes de résidence principale représentent les trois quarts des transactions, 960 000 l’année passée. Le reste, ce sont les investissements locatifs et les résidences secondaires", explique-t-il.

Une plus-value différente selon les régions
Pour ce qui est de la plus-value, "cela dépend du lieu de la résidence et au bout de combien de temps on revend son bien immobilier. Dans une moyenne de quinze ans, à Paris, la plus-value est de 94%. Les prix ont quasiment doublé. Dans une ville moyenne comme Dijon (Côte-d’Or), la plus-value est significative : +45%. Dans certaines villes, les prix ont baissé comme à Saint-Étienne (Loire)", précise le journaliste.

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Comment bénéficier du crédit d’impôt pour changer vos fenêtres ?

Vos fenêtres ne ferment pas bien ? L’air s’infiltre dans votre logement ? Ce n’est bon ni pour votre porte-monnaie ni pour la planète. Le savez-vous ? Depuis le 1er janvier, vous pouvez bénéficier d’un crédit d’impôt pour changer vos fenêtres ! Suivez le guide.

Depuis le 1er janvier dernier, les fenêtres sont à nouveau éligibles au Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Mi-décembre, le ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, a en effet fait un geste en direction des organisations professionnelles du secteur du bâtiment. Il a annoncé la réintroduction des fenêtres dans le dispositif. Vous souhaitez remplacer vos vieilles fenêtres moulues par du double, voire du triple vitrage ? Réduire votre consommation énergétique ? Profitez-en, le crédit d’impôt fenêtres fait en effet de nouveau partie intégrante du CITE. Ce dispositif fiscal a été prolongé par la loi de finance 2019 jusqu’au 31 décembre prochain.

Qu’est-ce que le CITE ?
Le CITE est un dispositif d’aide aux ménages qui souhaitent réaliser des travaux de rénovation énergétique. Il s’applique aux dépenses d’isolation du logement ou d’équipements destinées à le rendre moins énergivore.

A quel montant pouvez-vous vous attendre ?
Le remplacement des fenêtres permet un crédit d’impôt représentant 15 % du coût des travaux, avec un plafond de 100 € par fenêtre.

Quelles sont les conditions ?
Imposables ou non, tout le monde peut prétendre au CITE sous certaines conditions. Peu importe que la rénovation concerne une maison individuelle ou un appartement, du moment que le logement concerné est achevé depuis au moins 2 ans. Pour en bénéficier, peu importe également à quel titre vous occupez le logement (propriétaire, locataire ou occupant à titre gratuit) du moment que c’est votre résidence principale.

Quels travaux sont concernés ?
Le crédit d’impôt fenêtres ne concerne que les travaux consistant à passer d’un simple à un double ou triple vitrage. Les nouvelles fenêtres doivent en effet respecter un certain niveau de performance thermique. Pour bénéficier du CITE, vous devez également faire appel à une entreprise qui dispose du label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), une reconnaissance accordée par les pouvoirs publics et l’ADEME à des professionnels du secteur du bâtiment et des énergies renouvelables engagés dans une démarche de qualité.

A noter : si à l’occasion de travaux d’isolation de votre toiture, vous faites poser un Velux, celui-ci ne sera pas éligible au crédit d’impôt.

Jusqu’à quelle date pouvez-vous bénéficier du crédit d’impôt ?
Le crédit d’impôt s’applique aux dépenses payées jusqu’au 31 décembre 2019.

Quels sont les autres travaux qui bénéficient du CITE  ?
Voici une liste non exhaustive des travaux éligibles :

Chaudière à haute performance énergétique (sauf celles fonctionnant au fioul)
Matériaux d’isolation thermique (hors fenêtres ou portes)
Équipement de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire fonctionnant avec une source d’énergie renouvelable
Pompes à chaleur autre que air/air
Diagnostic de performance énergétique, quand il n’est pas obligatoire (1 par logement par période de 5 ans)
Dépose d’une cuve à fioul.
Pour bénéficier du CITE, dans le cadre du changement de vos fenêtres, vous n’êtes pas obligé de réaliser un bouquet de travaux. Vous pouvez vous contenter de changer uniquement celles-ci.

Et dans le cadre du prélèvement à la source, comment ça marche ? N’oubliez pas d’indiquer dans votre déclaration de revenus 2018 (mai-juin 2019) le montant du crédit d’impôt auquel vous pouvez prétendre.

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Le Salon National de l’Immobilier devient le Salon de l’Immobilier et de l’Investissement

Le Salon de l’Immobilier se tiendra du 11 au 13 octobre 2019 au Carrousel du Louvre à Paris et accueillera des exposants spécialistes de l’immobilier et du financement pour accompagner les visiteurs dans leur projet immobilier mais les conseiller sur les meilleurs placements.

Transmettre un bien à ses enfants, se constituer un patrimoine, réduire ses impôts, disposer d’un revenu complémentaire… La pierre reste une valeur sûre pour beaucoup de Français. Outre l’immobilier, d’autres opportunités existent pour se constituer un patrimoine. Des professionnels de l’investissement répondront à toutes les questions des visiteurs et les orienteront vers les solutions les plus adaptées à leurs envies, leur profil et leurs objectifs. En effet, l’appétence au risque et la nature du projet sont des éléments clés pour déterminer le placement le plus adapté. Tant pour les visiteurs ayant un projet naissant que pour les idées plus abouties, il est donc très important de se poser les bonnes questions et se faire accompagner par les meilleurs professionnels.

Le salon incontournable pour préparer l’avenir sereinement
« L’immobilier est toujours très plébiscité par les Français pour leurs projets d’investissement, constate Stéphanie Collot, Directrice du Salon de l’Immobilier et de l’Investissement. Mais d’autres placements existent pour se constituer un patrimoine, et nous souhaitons aider les visiteurs du salon à trouver la solution qui correspond le plus à leurs besoins. Ce nouvel espace « investissement », qui réunira professionnels des placements financiers, viendra compléter notre offre d’accompagnement, pour faire du salon un lieu incontournable pour concrétiser ses projets. »  Pendant 3 jours, les visiteurs pourront affiner leur projet immobilier et optimiser leur patrimoine, en présence d’une centaine de professionnels du secteur. En effet, le salon s’agrandit et accueillera cette année un espace « investissement » pour s’informer plus largement sur tous les placements : assurance vie, retraite, transmission, bourse, épargne… Alors, pourquoi venir au Salon de l’Immobilier et de l’Investissement ?

Rencontrer des professionnels de l’investissement
Côté investissement immobilier, les visiteurs auront le choix : neuf, ancien, en France, à l’étranger, appartement, maison, résidence de services… Quel que soit leur projet, des professionnels de tous les secteurs (promoteurs, agents immobiliers, notaires…) seront disponibles pour les éclairer. En plus de l’immobilier, ils pourront également bénéficier des conseils de gestionnaires de patrimoine et d’établissements financiers qui les aiguilleront sur les meilleurs placements : assurance vie, PEA, prévoyance, bourse…

Des conférences animées par des experts
Fortes de leur succès, les espaces d’accueil des conférences thématiques seront agrandis cette année, pour conseiller toujours plus de visiteurs. Véritables viviers d’experts, les conférences font salle comble chaque année, pour commenter l’actualité en matière d’immobilier et d’investissement. Parmi les sujets : les services et produits disponibles, les cadres juridiques et fiscaux, les aides au financement, les nouveaux territoires et marchés, les possibilités à l’étranger… Vendredi 11 octobre, une conférence d’ouverture animée par Guy Marty, Président honoraire de l’IEIF et fondateur de pierrepapier.fr, sur le thème « l’immobilier dans un monde incertain » apportera un éclairage concret, historique et économique aux visiteurs du salon et aux professionnels du secteur.

Des consultations individuelles gratuites
Très plébiscitées à chaque édition du salon, ce sont plus de 800 consultations qui ont été réalisées en 2018 ! Les visiteurs auront la possibilité de rencontrer de manière privilégiée un professionnel pour obtenir des conseils personnalisés sur leur projet d’investissement : avocats, gestionnaires de patrimoine, architectes, notaires… L’ensemble des professionnels seront à leur disposition pour concrétiser leur projet !

En pratique. Salon de l’immobilier et de l’investissement de Paris. Du vendredi 11 au dimanche 13 octobre 2019. De 10h à 19h (fermeture à 20h le vendredi). Au Carrousel du Louvre, 99 Rue de Rivoli, 75001 Paris

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Ce loft religieux anglais est à vendre pour 930.000 euros

On connaît depuis longtemps les lofts industriels, il va falloir s’habituer aux lofts religieux. En France, un nombre grandissant d’édifices religieux sont progressivement convertis en lieux d’habituation ou en sites à vocation artistique et culturelle. Une façon d’éviter qu’ils ne soient détruits. Mais le phénomène est plus ancien et de plus grande ampleur chez nos voisins d’outre-Manche. Dernière opportunité repérée récemment par le site The Spaces, cette superbe église du Kent (sud-est de l’Angleterre) mise en vente via le réseau britannique The Modern House.

L’église Saint-John de Faversham, à 80 km de Londres, a été construite en 1881 et financée par la veuve d’un fabricant de poudre à canon. Si l’ensemble a été reconverti en habitation, ce bâtiment classé (Grade II, dans la nomenclature britannique concernant les Édifices particulièrement importants ou d’un intérêt spécial) conserve l’essentiel de ses éléments architecturaux d’origine. On y retrouve de nombreuses voûtes, colonnettes et colonnades en pierre, vitraux, nef en bois évoquant une coque de bateau retournée… Les amateurs de loft seront aux anges: l’endroit bénéficie évidemment d’une très belle hauteur sous plafond et ne comporte aucune pièce fermée à l’exception de la salle d

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