Forte de son attractivité géographique et de son dynamisme économique et universitaire, Toulouse offre toujours des opportunités pour investir et encore de bons plans pour accéder à la propriété.
Selon les notaires, les transactions restent stables à Toulouse, tout comme les prix de vente.
Airbus et son activité économique, un pôle universitaire recherché, l’attrait du soleil midi-pyrénéen, Toulouse fait toujours recette en matière d’immobilier. Pour loger les étudiants ou les ingénieurs aéronautiques, les biens de qualité peuvent partir toujours très rapidement dans le centre-ville et à des niveaux de prix stables. Les quartiers des Carmes, Saint-Etienne ou de Saint-Cyprien offrent des prix bien au-delà du prix moyen toulousain à 2 600 €/m⊃2;, selon les notaires. Avec ses hôtels particuliers et ses immeubles de caractère, le quartier des Carmes reste le plus prisé jusqu’à 7 000 €/m⊃2;.
Les futurs atouts du quartier Bonnefoy-Matabiau
Autour du futur pôle multimodal de Toulouse-Matabiau, avec l’arrivée de la ligne à grande vitesse en 2020 et le projet urbain de Toulouse EuroSudOuest, l’immobilier prend de la valeur. Avec des prix moyens en dessous des 2 500 €/m⊃2;, les investisseurs peuvent encore y trouver de bonnes affaires, dès 2 000 €/m⊃2;. Les professionnels de l’immobilier s’attendent tous à une montée des prix lorsque les 60 hectares d’EuroSudOuest auront été reconvertis.La mise en service de la ligne de tramway Envol en fin d’année, à proximité des Arènes et du jardin des plantes devrait aussi soutenir dans l’avenir les prix à proximité des nouvelles stations. Au Nord de Toulouse, le métro qui mène jusqu’au quartier des Minimes redonne du souffle à ce secteur où l’on peut acheter un appartement à 1 500 €/m⊃2;. Un quartier de plus en plus prisé qui attire tant les employés des sites de Blagnac et Colomiers d’Airbus, que les familles toulousaines. Au Sud, le quartier de Rangueil, à proximité de l’université, offre aussi de belles opportunités pour louer aux étudiants, notamment en colocation. En revanche, les délais de vente ont tendance à s’allonger sur les grands logements.
Les biens sans défaut se vendent plus vite
Comme ailleurs, les biens immobiliers avec un bon DPE, diagnostic énergétique et peu de travaux, s’écoulent rapidement. En revanche, les logements des années 60 et 70, peu performants et nécessitant d’importants travaux de rénovation, peuvent avoir perdu entre 10 et 15 % de leur valeur en quelques mois. Du coup, ce sont d’anciens produits de défiscalisation à la revente, plus récents, qui en profitent.Côté maison, le prix moyen s’établit à 275 000 €, toujours en hausse et même plus cher que dans d’autres grandes métropoles régionales. Reste que dans les quartiers les plus chers, les délais de vente s’allongent comme à la Côte-Pavée ou Les Chalets où les biens dépassent les 500 000 €.
Sourced through Scoop.it from: www.trouver-un-logement.com